Ouvrir la saison avec Wagner est un événement ! Coproduit avec le Teatro Real de Madrid, cet opéra incarne avec puissance le lyrisme visionnaire du compositeur à travers une interprétation aux allures futuristes et post-apocalyptiques, signé par le metteur en scène franco-allemand David Hermann.
Une rencontre entre quatre jeunes gens ouvre la saison lyrique. Richard Wagner a 32 ans lorsqu’il dirige la première de son opéra Tannhäuser à Dresde. Nous sommes en 1845 et c’est déjà sa cinquième œuvre lyrique.
Le franco-allemand David Hermann, le plus jeune metteur en scène à avoir jamais oeuvré au Festival de Salzbourg, à 29 ans, s’inspire ici de l’univers déchiré de Philip K. Dick, que Ridley Scott rendit célèbre avec son film-culte Blade Runner en 1982.
Daniele Rustioni, 38 ans, inaugure quant à lui sa nouvelle fonction de directeur musical de l’Opéra de Lyon.
Et Tannhäuser est un jeune héros écartelé entre la passion sensuelle qui l’attache à la déesse Vénus et l’amour divin qu’il porte à la pure et sainte Élisabeth. Trois actes d’une intensité soutenue, nous plongent dans une traversée des obsessions et des inventions musicales inouïes du compositeur, un voyage dans son lyrisme visionnaire.
Opéra en 3 actes
Livret du compositeur
Nouvelle production
Coproduction Opéra de Lyon et Teatro Real de Madrid
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