Antonín Dvořák laisse à la postérité de séduisantes œuvres de musique de chambre, d’un romantisme de toute beauté. Chacune témoigne de son inépuisable inspiration mélodique, de la générosité de son écriture, ou encore de la virtuosité de son langage. Parmi ce répertoire, les musiciens et musiciennes des pupitres de cordes de l’Orchestre de l’Opéra de Lyon s’emparent de deux partitions lumineuses, pourtant plus rarement jouées, et proposent ainsi de les découvrir pour notre plus grand bonheur : un trio pour deux violons et alto, et un quintette pour quatuor à cordes et contrebasse.