
Avec ces deux rendez-vous, qui sont bien moins des cours magistraux que des partages et parcours sensibles, Richard Robert, directeur et programmateur de l’Opéra Underground, évoque deux expériences où le mot “douceur” se décline dans toute la richesse de ses acceptions. D’abord avec l’émergence dans les années 1950 d’un nouveau son et d’un nouveau registre, plus intime, d’expression, d’écoute et de relation avec la musique enregistrée. Ensuite avec le prodige discret mais mémorable de l’anglaise Virginia Astley, qui dans les années 80 sut capter dans un album miraculeux l’essence même d’une saison d’été.


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