• Saison 2021-2022
  • Danse
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Lukáš Timulak / Jiří Kylián

Darkness - Light - Darkness / 14'20" / Gods And Dogs

  • Dates 1 févr. - 6 févr. 2022
  • Tarifs de 10€ à 40€
  • Lieu Opéra de Lyon
  • Durée 1h40 dont 1 entracte de 25 min

En quelques mots

Une soirée en trois temps à la découverte de l'œuvre du chorégraphe tchèque Jiří Kylián et d'un de ses disciples, le Slovaque Lukas Timulak qui interrogent par la danse la réalité du monde et les états du corps dans son environnement spatio-temporel.

  • Darkness – Light – Darkness
    Galerie 5 médias
    Darkness – Light – Darkness
  • 14'20''
    Galerie 7 médias
    14'20''
  • Gods and Dogs
    Galerie 6 médias
    Gods and Dogs

Présentation

01
Darkness – Light – Darkness, l'organisation de la nature
Ancien danseur aux NDT I et II et au Ballet de Monte-Carlo, Lukas Timulak se caractérise par un travail sur la fluidité et la continuité du mouvement. Troisième volet d'une trilogie qui scrute les relations entre monde visible et invisible, Darkness – Light – Darkness, s'inspire des cycles de la nature, en explore les principes d'organisation et de causalité. Et répond à une question : comment créer une stabilité dans le mouvement perpétuel de la matière de notre écosystème ?

02
14'20'', le temps inexplicable
14'20'' est un extrait, une version courte, du fascinant 27'52'' – dont les titres disent la durée – flux de danse à l'état pur où les gestes opèrent en cascades (sur une partition de Dirk Haubrich sur une composition de Mahler). Un duo sur le thème de l'amour, des changements et au fond, du temps : cette entité indéfinissable, à la fois « très simple, incroyablement compliquée et complètement inexplicable » qui régit nos vies et qui fascine le chorégraphe tchèque.

03
Gods and Dogs, « la partie saine de la folie »
Comme l'indique l'homophonie de son titre, Gods and Dogs, centième création, il y a dix ans, de Jiří Kylián, explore les limites, invisibles et poreuses, entre les contraires et les extrêmes, celles de la perfection et de l'animalité, celles qui séparent « la normalité et la démence, la santé et la maladie, et tous les critères déterminants de l'une et l'autre ». En somme ce que Kylián nomme « la partie saine de la folie ». Sur le premier Quatuor à cordes de Beethoven et les compositions originales de Dirk Haubrich, les huit danseurs se livrent à une traversée d'états physiques et émotionnels, tandis que leur répertoire gestuel est souligné par des vidéos projetées à même leur corps.

Darkness - Light - Darkness
Création

14′ 20′′
Reprise - Première le 16 janvier 2007 au Nerderlands Dans Theater

Gods and Dogs
Reprise - Première le 13 novembre 2008 au Nerderlands Dans Theater 2

  1. Darkness – Light – Darkness, l'organisation de la nature

    Ancien danseur aux NDT I et II et au Ballet de Monte-Carlo, Lukas Timulak se caractérise par un travail sur la fluidité et la continuité du mouvement. Troisième volet d'une trilogie qui scrute les relations entre monde visible et invisible, Darkness – Light – Darkness, s'inspire des cycles de la nature, en explore les principes d'organisation et de causalité. Et répond à une question : comment créer une stabilité dans le mouvement perpétuel de la matière de notre écosystème ?

  2. 14′ 20′′

    14'20'' est un extrait, une version courte, du fascinant 27'52'' – dont les titres disent la durée – flux de danse à l'état pur où les gestes opèrent en cascades (sur une partition de Dirk Haubrich sur une composition de Mahler). Un duo sur le thème de l'amour, des changements et au fond, du temps : cette entité indéfinissable, à la fois « très simple, incroyablement compliquée et complètement inexplicable » qui régit nos vies et qui fascine le chorégraphe tchèque.

  3. Gods And Dogs

    Comme l'indique l'homophonie de son titre, Gods and Dogs, centième création, il y a dix ans, de Jiří Kylián, explore les limites, invisibles et poreuses, entre les contraires et les extrêmes, celles de la perfection et de l'animalité, celles qui séparent « la normalité et la démence, la santé et la maladie, et tous les critères déterminants de l'une et l'autre ». En somme ce que Kylián nomme « la partie saine de la folie ». Sur le premier Quatuor à cordes de Beethoven et les compositions originales de Dirk Haubrich, les huit danseurs se livrent à une traversée d'états physiques et émotionnels, tandis que leur répertoire gestuel est souligné par des vidéos projetées à même leur corps.

Galerie

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