L’alchimie particulière de L’Etrangleuse ne repose pas que sur la combinaison inattendue entre la harpe et le jeli n’goni – le luth des griots maliens – ou la guitare électrique. Elle est d’abord le fruit de l’association entre Mélanie Virot et Maël Salètes, qui, plutôt que de suivre un cursus tout tracé (rock, jazz, expérimental) ont préféré faire l’école buissonnière.
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