De quelque horizon qu’ils viennent – des Etats-Unis comme la soprano Sara Jakubiak, le ténor Brian Jagde, le chef d’orchestre Kent Nagano, d’Australie comme la soprano Nicole Car, de Russie comme les sopranos Elena Stikhina et Elena Guseva, le ténor Najmiddin Malvyanov, le metteur en scène Timofei Kouliabine, de Lituanie comme la soprano Ausrine Stundyte, de Georgie comme le baryton Misha Kiria, de Pologne comme le metteur en scène Mariusz Treliński, de Grèce comme le chorégraphe Christos Papadopoulos, d’Espagne comme le metteur en scène Calixto Bieito ou le chorégraphe Marcos Morau, du Cap-Vert et travaillant au Portugal comme la chorégraphe Marlene Monteiro Freitas, d’Italie comme notre directeur musical Daniele Rustioni, qui a récemment reçu le prix de chef de l’année aux International Opera Awards… ou de France comme la mezzo Clémentine Margaine ou le metteur en scène Laurent Pelly – les grands artistes réunis cette saison sont autant chez eux a New York, Vienne, Milan, Londres, Moscou, Lisbonne ou Madrid, qu’ils le seront à Lyon.
Ils ont le gout de l’aventure. Ils font le pari de révéler le génie propre, l’invention, la prescience visionnaire parfois des œuvres qui leur sont confiées ou qu’ils créent, quelle que soit l’époque où elles surgirent. Et ils font le pari de la curiosité et du talent du public de l’Opera de Lyon.
Ainsi, l’Opéra de Lyon est reconnu de ses pairs européens pour ses projets et réalisations d’envergure qui attire des artistes confirmés comme les jeunes talents émergents. Pour preuve, la saison dernière ce sont plus de mille candidats venant de soixante-quatorze pays qui ont répondu à l’appel à candidature pour intégrer le Lyon Opera Studio, troupe de jeunes interprètes lyriques en formation. De même, pour le Ballet de l’Opéra de Lyon, ce sont plus de 14 nationalités qui le constituent et en sont les ambassadrices à Lyon et en tournée.