Pianiste de renommée internationale, Alexandre Tharaud parcourt les grandes scènes de la musique classique depuis plus de vingt-cinq ans, en véritable ambassadeur du piano français.
Cette saison, il se produit en récital à la Philharmonie de Paris, au King’s Place de Londres, à l’Alte Oper de Francfort, à Bayreuth, à la Casa da Música de Porto, au Zankel Hall de New York ainsi qu’en tournée au Japon, en Chine et en Corée du Sud.
En exclusivité pour le label Erato/Warner Classics, il élabore plus de 25 disques solo embrassant un large répertoire allant de la musique baroque à la création contemporaine : il enregistre Versailles, disque hommage aux compositeurs des cours de Louis XIV, Louis XV et Louis XVI, les Variations Goldberg et le Concerto italien de Bach, les trois dernières sonates de Beethoven, les 24 Préludes de Chopin, l’intégrale des oeuvres pour piano de Ravel, mais aussi un disque hommage à Barbara ou encore un album Brahms en duo avec Jean-Guihen Queyras, son partenaire de scène depuis une vingtaine d’années.
Il collabore également avec plusieurs metteurs en scène, danseurs, chorégraphes, écrivains et cinéastes, ainsi qu’avec différents auteurs-compositeurs-interprètes et musiciens hors du domaine classique.
En septembre 2020, il a fait paraître avec Sabine Devieilhe Chansons d’Amour, disque suivi d’une tournée au Wigmore Hall de Londres, à la Monnaie de Bruxelles, au Concertgebouw d’Amsterdam, à la Philharmonie de Berlin, au Théâtre des Champs-Élysées et à La Scala de Milan. En octobre de cette même année est sorti le triple album Le Poète du Piano, qui reprend une partie de ses enregistrements et propose de nombreux inédits.
Alexandre Tharaud a publié Montrez-moi vos mains (2017), compte-rendu introspectif sur la vie quotidienne des pianistes. Il avait auparavant co-écrit Piano Intime avec le journaliste Nicolas Southon. Il est également le sujet principal d’un film réalisé par la cinéaste suisse Raphaëlle Aellig-Régnier – Alexandre Tharaud, Le Temps Dérobé – et est apparu dans le rôle d’Alexandre dans Amour, de Michael Haneke (2012).