• 2009/2010
  • Opéra
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Hänsel et Gretel

Engelbert Humperdinck

    En quelques mots

    Hänsel und Gretel
    Conte musical en 3 actes
    Livret d'Adelheid Wette d'après
    un conte de Grimm, 1893
    En allemand

    Présentation

    Un conte de fée à l’Opéra.
    Souvenez-vous : deux enfants perdus, une forêt inextricable, la maison en pain d’épices. Et cette affreuse sorcière…
    S’il est un conte universel c’est bien Hänsel et Gretel, qui a bercé l’enfance de générations entières. Un texte merveilleusement mis en musique par le plus doué des disciples de Richard Wagner : une orchestration brillante, entre chants traditionnels, ambiances féériques et évocation d’une nature enchantée.

    Une mise en scène gourmande, drôle et poétique.
    A Lyon, ses mises en scène d’Offenbach nous ont bouleversés ou fait rire aux éclats. Laurent Pelly, le plus “couru“ des metteurs en scène d’opéras français, nous revient avec un spectacle haut en couleurs, délicieuse satire de la société de consommation, qui a triomphé à sa création au Festival de Glyndebourne en 2008.

    L'histoire
    C’est la famine, une misère noire pour les pauvres gens. Dans la famille d’Hänsel (petit Jean ou Jeannot) et de Gretel (petite Marguerite ou Margot) on connaît la faim, la vraie. Quand les enfants, en jouant, cassent le pot contenant le lait devant servir de dîner, il ne reste plus rien à manger ; alors leur mère les expédie dans la forêt, chercher de quoi faire un repas. Dans cette forêt, les enfants s’égarent ; dans leur errance ils vont connaître la peur et l’émerveillement. Ils rencontrent le Sandmännchen – le Marchand de sable – qui les endort ; des anges descendus des nuages qui veillent sur leur sommeil ; le Taumännchen – le Bonhomme Rosée – qui les éveille. La forêt de tous les dangers, c’est au matin qu’elle se dévoile : la maison de sucreries de la Sorcière attire les deux enfants affamés. Mais la Sorcière aime les enfants, au sens gastronomique du terme. Les voilà pris et prêts à servir de rôtis pour le déjeuner. Heureusement, par ruse, Gretel parvient à enfermer la Sorcière dans son propre four et à lancer la cuisson. Le four crépite, le four explose. La Sorcière est morte et une multitude d’enfants qu’elle avait transformés en pains d’épices retrouvent leur forme humaine. La famille se retrouve. “Tous leurs soucis prirent fin et ils vécurent ensemble dans la joie.”

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