Jazz hard bop
Dans les années 60, aux Etats Unis, l’arrivée du cool jazz marqua pour la première fois une domination des musiciens blancs au sein d’un courant jusqu’alors dominé par les jazzmen noirs. Dans un environnement encore ségrégationniste, certains musiciens, suivant le postulat « Black is beautiful », prônèrent en réaction une reconnaissance forte de l’identité afro-américaine. Le hard bop est né de ce besoin identitaire. Ses codes, sa forme, son tempo en font la musique funky (littéralement « sent la sueur ») par excellence. Le pianiste et organiste Stéphane VINCENZA est convaincu que cette musique est plus vivante que jamais, qu’elle est le jazz populaire. Il la défend au sein de plusieurs formations, et propose avec ce quintet SILVER MOOD, un répertoire énergique basé sur les compositions d’Horace SILVER.
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