• 2008/2009
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La clémence de titus

Wolfgang Amadeus Mozart

    En quelques mots

    La Clemenza di Tito
    Opera seria en deux actes K.621, 1791
    Livret de Caterino Mazzolà d'après Metastase
    En italien

    Nouvelle production

    Présentation

    L'histoire

    Titus (Tito), vient de monter sur le trône des Césars. Il a appelé à Rome celle qu’il aime, Bérénice, reine de Césarée. Vitellia voit ainsi la place d’impératrice lui échapper. Elle pousse Sextus (Sesto) qui l’aime passionnément à organiser un complot pour tuer Titus. Sextus hésite, déchiré entre son amour et l’amitié qui l’unit au nouvel empereur.
    Mais Rome ne veut pas de Bérénice — elle n’est pas romaine. Titus se sépare d’elle, “malgré lui, malgré elle” ; il renonce aussi à Servilia, soeur de Sextus et choisit finalement Vitellia pour impératrice. À ce moment-là, il est trop tard : Sextus s’est résolu à organiser émeutes et attentat et ne peut arrêter la conjuration. Le Capitole brûle, Titus échappe de peu au poignard des comploteurs. Sextus et Vitellias’accusent eux-mêmes du forfait. Perdu dans le doute et l’horreur que lui inspire la noirceur du crime, Titus, finalement, pardonnera à tous.

    Opéra des Lumières, La Clémence de Titus va au-delà de l’éloge du despotisme éclairé. La bonté et l’intelligence, l’empire sur soi-même et l’humanisme y sont mis en scène, en action, comme dans la majorité des chefs-d’oeuvre lyriques de Mozart, de L’Enlèvement au sérail à La Flûte enchantée.

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